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Le deuil et l'entourage : Cette colère et ce désespoir qui font peur

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Le deuil et l'entourage : Cette colère et ce désespoir qui font peur Empty Le deuil et l'entourage : Cette colère et ce désespoir qui font peur

Message  pauline Lun 2 Nov - 23:07

"Le deuil et l'entourage : Cette colère et ce désespoir qui font peur.


INTRODUCTION.

Combien de fois après avoir moi-même vécu cette situation ai-je entendu ou lu des témoignages de parents blessés par les mots maladroits de leur entourage ou de parfaits inconnus, et combien de fois ai-je vu l'entourage de ces parents démuni face à leur douleur, ne sachant plus quoi faire pour les aider, pétrifiés par la peur de choisir les mauvais mots au point de s'écarter doucement d'eux et de leur souffrance ?
Trop pour les compter.
Trop d'amitiés, de liens familiaux ont été détruits par ces non-dit et ces maladresses.
Le but de cet article est de donner la parole aux parents et à l'entourage, pour les malentendus s'effacent peut-être enfin.

__________________________________________________________________

Après la perte d'un enfant à un stade avancé de la grossesse, l'entourage se retrouve parfois la cible des parents en colère.
Il lui est très difficile de comprendre et d'accepter que cette colère se retourne contre lui alors qu'il est persuadé de les aider du mieux possible.
La colère est une des étapes du travail de deuil, et quand aucune cause n'a été trouvée à la mort du bébé, qu'il n'y a personne que l'on pourrait tenir pour responsable et à qui l'on pourrait s'en prendre, cette colère peut se reporter sur la famille.
Les parents peuvent être en colère de se sentir incompris de voir que les autres ne peuvent accéder à leur douleur ce qui les renvoie une fois de plus à leur propre solitude pour vivre ce drame.

Mais la plus grosse part de colère vient du malaise que leur situation provoque chez les autres et de leur fuite.
La perte d'un enfant à un stade avancé de la grossesse fait peur. Une majorité de personnes (dont la plupart des parents endeuillés eux même avant que cela ne leur arrive) préfèrent ne pas penser à cette réalité.
Pourtant le bébé que tous attendaient est mort, alors que rien peut être ne le laissait présager.
L'entourage va alors réagir de différentes façons : des personnes que l'on croyaient proches vont nous décevoir, d'autres que l'on n'estimait pas forcément vont se révéler extraordinaires.
En plus de perdre un enfant, c'est un deuxième choc, un deuxième deuil à faire : celui de notre vie telle qu'elle était.

LES REACTIONS DE L'ENTOURAGE.

Certaines personnes vont choisir de fuir une situation trop dure pour elles : Elles disparaîtront du jour au lendemain sans la moindre explication. Elles resteront parfois devant leur téléphone sans oser appeler jusqu'à ce que les jours aient trop défilés pour le faire enfin, ou alors elles vous diront franchement qu'elles ne peuvent pas assumer, ce qui est très dur à entendre.

Ma meilleure amie, que j'avais supplié de rester près de moi le soir de l'enterrement m'a calmement demandé de ne pas lui imposer ça et est allée passer sa soirée en boite de nuit.
Certaines vont rester, mais ne tiendront pas devant la détresse persistante des parents et s'éloigneront peu à peu.
D'autres se montreront littéralement odieuses et auront des mots d'une méchanceté inexplicable comme :
« Ne vous plaigniez pas, vous au moins vous pourrez dormir » (venant d'une jeune maman qui avait des nuits difficiles)
« tu es sûre que tu as tout fait comme il fallait ? »
« arrête de profiter de la mort de ta fille pour te plaindre ! »

Et puis il y a ceux qui restent.
Ils héritent d'une tache difficile et vivent constamment sur la corde raide au côté des parents : à la moindre phrase maladroite ils peuvent provoquer une peine, une colère et une rancour immense.
Même avec le recul, ces phrases ne seront jamais oubliées. Et en même temps les parents éprouveront pour ceux qui sont restés près d'eux malgré la tempête, une reconnaissance infinie.

A vous qui avez le courage de rester, je voudrais vous adresser un profond merci, car j'ai appris à mes dépends que ce que vous faites est loin d'être un acte évident.
J'aimerais, si vous me le permettez, vous donner quelques conseils :

Ce qu'il vaut mieux ne pas faire ou dire :
Evitez avant tout les phrases du style de ce qui suit, car même si vous les prononcez avec les meilleures intentions du monde, elles ne provoqueront que colère ou chagrin.
« Ce n'est pas grave, vous êtes encore jeunes. »
Mais si, ce qui arrive est très grave. Vous n'aiderez pas les parents en essayant de minimiser la situation, vous leur ferez simplement mal. Quant au fait d'avoir la chance d'être encore jeune, ça ne les aidera pas à ramener cet enfant qui est le seul qui compte à cet instant.

« C'est moins grave que si vous aviez vécu avec lui / Il vaut mieux maintenant que plus tard »
Y a-t-il un moment préférable pour perdre un enfant ?
Et même si vous estimez que c'est le cas, demandez vous simplement si ce genre de remarques est judicieux et peut apporter quelque chose aux parents à ce moment précis, alors qu'eux cherchent désespérément la reconnaissance de leur enfant en tant que tel.

« Ma femme a fait une fausse couche, nous pouvons tout à fait comprendre »
Justement non, vous ne pouvez pas « tout à fait » comprendre.
Vivre une fausse couche peut être dramatique, mais la situation n'en est pas moins différente.
Un couple qui est allé si loin dans la grossesse, peut-être jusqu'au terme même, traverse bien d'autres choses et il lui parait inconcevable que l'on identifie cette perte à une fausse couche.

« Arrête d'y penser, cela ne le/la ramènera pas / Il faut oublier et penser à l'avenir »
Cela ne les ramènera pas c'est évident, mais occulter la situation est tout bonnement impossible, au-delà même du fait que cela n'apporterait rien. Avant de penser à l'avenir, il convient de vivre le présent.

« C'est peut être mieux comme ça »
Ah bon ? désolée c'est tout ce qui me vient. mon enfant est mort est c'est mieux comme ça ?.
Je comprends que cette phrase toute faite puisse sortir malgré vous, mais avec un peu de réflexion, vous comprenez sûrement qu'elle ne peut avoir de sens.

« Vous en ferez vite un autre / Vous en aurez d'autres / Vous en avez d'autres »
Oui, mais en quoi cela peut-il aider à faire revivre celui qui est mort ?
On ne remplace pas un enfant. Ne faites pas l'erreur de croire que c'est parce qu'il n'est pas né que l'on ne connaissait rien de lui.
In utero, les enfants ont déjà leur caractère propre, et c'est cet enfant là qui va nous manquer.

« Surtout n'en faites pas un autre tout de suite » (variante : pas avant 6 mois, un an, deux ans)
Vous avez sûrement mûrement réfléchi avant de donner ce conseil. Mais sur quoi vous basez vous pour le donner ?
Même les parents qui ont vécu ce drame ne donneront jamais d'avis aussi tranché à d'autres parents.
Ils savent simplement que la seule solution valable dans ce cas est ce que les parents ressentent le besoin de faire. S'ils font ce que leur cour leur dit, il ne se tromperont jamais.

« Vous devez / vous ne devez pas »
Peu importe la phrase qui va suivre... Oubliez les grandes vérités, il n'y a pas de règle.

« Il faut vous bouger et reprendre le dessus maintenant »
Inutile de leur mettre le pression, même si vous croyiez que c'est pour leur bien, ils reprendront le dessus quand cela leur sera possible. Pourquoi voudriez vous qu'ils le fassent avant ?
Il faut prendre le temps de s'effondrer pour mieux se redresser.
Laissez leur le temps du deuil ! Même si notre société veut que tout aille vite, que les battants reprennent le dessus en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, ce serait une erreur.
Evitez de raconter vos propres malheurs.

Si vous voulez vraiment aider pensez que pour le moment rien ne compte plus pour eux, car le monde s'est écroulé.
Je suis persuadée qu'en lisant ces phrases, beaucoup d'entre vous pensent qu'ils ne les auraient jamais prononcées de toutes façons. Je suis loin d'en être persuadée.
J'ai entendu ces mots dans la bouche des personnes les plus sensibles et les plus intelligentes de mon entourage.
J'ai même parfois eu l'impression qu'ils venaient comme ces phrases que l'on se répète en boucle qu'il ne faut surtout pas prononcer et qui sortent bizarrement quand même toutes seules dès que l'on ouvre la bouche.

Tous les encouragements que vous pourrez trouver ne sont pas forcément mauvais.
Il y a seulement peu de chances pour que vous ayez le bonheur de dire la bonne phrase au bon moment.
Ne croyez pas pour autant que vous n'avez plus qu'à laisser tomber !
Il y a des choses par lesquelles vous ne ferez jamais de mal et qui procureront aux parents l'aide que vous cherchez justement à leur apporter.

CE QUE VOUS POUVEZ FAIRE POUR EUX:

Ecoutez les , tout simplement.

Ces parents ont besoin de parler de leur bébé, de leur souffrance. Ils ont peur par-dessus tout qu'on oublie leur enfant et leur peine.
Cependant ils n'en parleront peut- être pas d'eux même car ils ont souvent peur de déranger en le faisant.
De son côté, l'entourage attend que les parents évoquent le sujet pour l'aborder car ils ne veulent pas « enfoncer le couteau dans la plaie » .
Nous voilà en plein malentendu.
Vous ne les peinerez sûrement jamais en en parlant, et même si vous leur faites venir les larmes aux yeux, dites vous qu'ils ont besoin de pleurer et qu'on n'ait pas peur de leurs larmes.
Si ce n'est pas le bon moment pour eux, ils vous le diront.
Ne le prenez pas mal et que cela ne vous empêche pas de l'aborder de nouveau à un autre moment.

Il y a des phrases qui ne blesseront jamais :
. « je serai toujours là pour parler de lui/elle »
. « je ne l'oublierai jamais »
. « dis moi ce que tu ressens »
. comment s'appellait-il/elle ? (pour l'entourage éloigné)

N'hésitez pas à leur demander de vous raconter ce qui s'est passé. N'ayez pas peur qu'ils croient que vous faites preuve de curiosité mal placée : ils ont besoin que l'on s'intéresse à ce qu'ils ont traversé et de le partager .
Vous pouvez même avoir des attentions particulières aux moment les plus durs comme les anniversaires ou Noël.

N'ayez pas peur de rouvrir une plaie : encore une fois, le plus dur pour eux est de se dire que l'on a oublié leur enfant.
Pourquoi pas un petit mot, une carte ?

Vous pouvez aussi demander aux parents de décrire leur enfant physiquement. C'est une attention qui les touchera énormément, peu de personnes y pensent.
S'ils vous disent que des photos existent, cela peut être une perche tendue pour vous laisser l'occasion de demander à les voir.
Sachez que ces clichés sont souvent très durs, mais si vous êtes prêts et si vous sentez les parents disposés à les montrer, vous pouvez aussi en faire la demande.
Même si à chaque fois que vous téléphonez ils ne répondent pas et ne vous rappellent pas, continuez de leur montrer que vous êtes présents en les appelant de temps en temps et en leur laissant un message pour leur dire que vous êtes là s'ils le veulent.

Même si plusieurs mois s'écoulent entre ces coups de fils, je peux vous promettre qu'ils seront touchés de savoir que vous ne leur en voulez pas de prendre du recul et que vous serez là quand ils le voudront.
Vous n'osez pas ? Vous vous dîtes que vous ne saurez jamais trouver les bons mots ?Que vous allez forcément gaffer ?
Que vous serez forcément trop mal à l'aise et que ce que vous dites sera pire que tout ? Alors pourquoi ne pas le leur dire ?
Dites leur que vous avez peur de mal faire, mais que vous voudriez, malgré cela, être là pour eux.
En leur en ayant parlé, je suis quasiment sûre qu'à moins de vous montrer carrément insultants, vous gaffes seront pardonnées.

Il est pratiquement impossible de ne pas gaffer, mais le pire que vous puissiez faire serait de ne pas être présent.

Deux ou trois choses à savoir pour mieux les comprendre:
Sachez que les parents culpabiliseront énormément les premières fois où ils riront de nouveau, ou quand, simplement, ils pourront penser à autre chose pendant quelques heures.
Ils culpabiliseront par rapport à leur enfant, qu'ils auront l'impression de trahir, mais ils auront aussi peur que leur entourage ne prenne ces moments de mieux être pour des étapes définitivement franchies
En effet, il y aura des périodes de « mieux » souvent suivies par d'immenses « retours de manivelle » d'autant plus violents et douloureux que les parents se croyaient aller mieux.
L'entourage aussi en est profondément perturbé, ne sachant plus dans quel sens aborder la situation.
Ici encore, pour savoir où en sont et ce que ressentent les personnes concernées, quoi de mieux que des les écouter ?

Les parents parlent souvent spontanément de leur souffrance dès qu'ils sentent que leur interlocuteur est totalement intéressé, à l'écoute, sans jugement et sans solutions toutes faites à fournir.
Peu à peu ces « retours de manivelle » vont s'espacer, mais ils seront toujours présents et inattendus.
Vous ne retrouverez jamais l'ami, le fils, la fille, la sour, le frère que vous aviez connu.
N'attendez pas d'eux qu'ils redeviennent ce qu'ils étaient avant, cela n'arrivera jamais.

Ils sont marqués pour toujours, mais vous les verrez se rouvrir un jour au bonheur si vous avez l'amitié d'attendre qu'ils soient prêts. "

http://www.materneo.com/netre/deuil-perinatal-entourage.htm
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Le deuil et l'entourage : Cette colère et ce désespoir qui font peur Empty Re: Le deuil et l'entourage : Cette colère et ce désespoir qui font peur

Message  elseb07 Ven 15 Jan - 11:59

bonjour,
je suis tomber sur ce forum en cherchant un peu de reponse pour aider ma soeur qui a perdu son bebe ce mercredi 13 janvier et je vous felicite d'etre aussi honnete et aussi clair, je n'osai pas demander le prenom de mon neveu qui devait etre secret jusqu'au jour de son arrivée, je me sentai coupable d'allez les voir sans forcement dire des choses (ne sachant pas quoi dire à part "si vous avez besoin de quoi que ce soit je suis la" et "je vous aime" ou encore "je vous soutien"), je trouvai ça tres bete de ne pouvoir dire quoi que ce soit de reconfortant mais au final avec ce texte je me rends compte que tant que je suis la, disponible, avec mes texto que je jugeai "debile", meme si je ne parle pas beaucoup et pleure plus avec ma soeur en la serrant tres fort dans mes bras que d'avoir des solution à tout ça (surtout que je pense que c'est la pire chose au monde, que rien ne pourra jamais changer cette douleur, qu'il n'y a aucune solution) et ba en fait le simple fait d'etre la aupres d'eux c'est deja ce qu'il y a de mieux, j'ai tres peur pour ma soeur qui est deja de base tres sensible et se renferme beaucoup sur elle meme, j'ai peur qu'elle renferme sa douleur mais qu'a force un jour ça eclate, elle a decidé de se faire suivre par la psychologue ainsi que son homme et je pense que c'est deja une bonne chose qu'ils admettent que c'est une tres grosse epreuve impossible a surmonter seul
encore merci pour ce texte, bon courage a toutes les mamanges et toutes mes condoleances

elseb07
Invité


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Le deuil et l'entourage : Cette colère et ce désespoir qui font peur Empty bonjour

Message  pauline Ven 15 Jan - 12:31

Courage,

N'hésitez pas à informer votre soeur de l'existence de forums (celui ci n'est pas le seul), d'associations etc. j'en ai répertorié pas mal, pour voir aller à l'accueil de ce forum, et rubrique "les adresses utiles".

Le suivi psychologique est important si elle en ressent le besoin.

Le fait de faire des recherches sur le sujet est une grande preuve d'amour. il est vrai que dans des situations extremes comme celle ci nous ne réagissons pas forcément de la bonne façon et c'est normal, mais le fait de se l'avouer et d'entreprendre de chercher ce qui est le mieux pour celui et celle a qui ca arrive est noble de votre part.

Comme il l'est écrit dans le texte plus haut je ne pense pas que les parents de ce petit bébé décedé se vexeraient si vous demandiez des informations sur lui (surtout la mere qui n'a qu'une peur, c'est qu'on oublie son enfant, vu qu'elle a été la seule a avoir une relation privilégiée avec lui, les autres n'ont vu que le gros ventre), s'ils l'ont vu: comment il était, a qui il ressemblait, avait il des cheveux, comment s'appelle t il, combien pesait il, etc.

Si ce n'est pas le bon moment quand vous lancez le sujet ça le sera sans doute plus tard, dans quelques jours, quelques semaines, quelques mois...
Vous pouvez tout simplement leur demander si ça les dérange d'en parler, en n'oubliant pas que le pere et la mere peuvent réagir totalement differemment, ainsi parfois le pere prefere passer a autre chose par peur de souffrir encore, alors que la mere a besoin d'en parler.
Peut etre pourriez vous en parler aussi seule a seule avec votre soeur.

la période dans laquelle vous etes, c'est a dire juste apres le drame, est terrible, la douleur irradie et est insupportable, je vous conseille de ne pas laisser la maman seule. aussi parce qu'elle doit se sentir "vide".

Mais n'oublions pas que chaque personne est differente, et que le plus important est de s'adapter a leur réaction.

Je suis de tout coeur avec vous, votre famille, et avec votre soeur et son compagnon.
pauline
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